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dimanche 13 novembre 2016

le rêve amérindien


Le bruissement des feuilles dans les arbres de la forêt
L’apparition des étoiles lorsque le ciel s’assombrit
Tous ces bruits, ces tons, sur notre terre, existaient
Avant que l’homme blanc ne l’ait envahie
Notre mère terre est désormais couverte de ciment
Les rues et les trottoirs lui ont volée sa beauté
Maintenant, l’aigle se cache, il ne vole plus comme avant
Les lignes électriques ont remplacé son ciel adoré
Les bisons ont disparus des plaines pour toujours
Les champs se sont colorés de rouge avec l’arrivée des soldats
Est-ce que cela apportera un monde meilleur un jour…


Traduction de l’Oeuvre de Twanica Elisabeth Adcock
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