mercredi 29 janvier 2014
mardi 28 janvier 2014
lundi 27 janvier 2014
dimanche 26 janvier 2014
Tourne la terre.
La terre est en train de tourner.
Ceux qui ne dansent pas veulent mourir.
Pendant que nous dansons la terre est en train de danser.
Nous, nous réglons nos vies sur le soleil et sur la lune.
Leur visage est notre visage.
De nos mains, nous maintenons la lune bien haut.
Nous sommes les fils des arbres lorsque la lune est couchée parmi les branches.
Nous avons des yeux purs comme les oiseaux.
Nous chevauchons solitaires tant que le soleil nous caresse.
Nous avons un endroit où aller au-delà de la frange dorée des rêves.
Chant Comanche
vendredi 24 janvier 2014
Ecoutez !
Il est dit par les nations que le cosmos est magnifiquement agencé. Nous en voyons la preuve dans le changement des saisons, dans le jour et la nuit, la vie et la mort, l'accouplement de toutes choses sans lequel la vie infinie ne pourrait se perpétuer. Alors le cosmos est un tout, un lieu de régénération continuelle et de vibrante beauté, un royaume intérieur merveilleux qui confère substance et forme au monde matériel.
Ce mélange du spirituel et du quotidien est ressenti par les nations comme l'essence de la vie de tous les jours.
Mais écoutez ! De ce royaume intérieur surgit une voix féminine aux accents profonds, à la force surprenante...
Anna Lee Walters
mardi 21 janvier 2014
samedi 18 janvier 2014
l'esprit des Indiens
La lune à la nuit tombée, le 17 janvier 2014
Né pour rêver, je suis celui qui cherche les esprits !
Les rêves m'accompagnent toujours. Tel le cristal des étoiles qui scintillent par les nuits d'obsidienne lustrée, ils me guident vers des buts que je dois atteindre, plongent en tourbillonnant jusqu'aux tréfonds de mon être ou prennent leur essor vers de puissants esprits vivants.
Les rêves sont mon pouvoir, l'essence invisible de mon âme rendue tangible et dotée de substance.
Par eux la guérison est possible et les âmes entravées sur la terre peuvent s'élever !
Ce sont des voix qui chantent à l'unisson, célébrant la danse de vie à l'intérieur de chaque être jusqu'aux confins de la galaxie.
Anna Lee Walters (descendante d'une tribu Pawnee)
lundi 13 janvier 2014
Pars courageusement, laisse toutes les villes ;
Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin ;
Du haut de nos pensers vois les cités serviles
Comme les rocs fatals de l'esclavage humain.
Les grands bois et les champs sont de vastes asiles,
Libres comme la mer autour des sombres îles.
Marche à travers les champs une fleur à la main.
Alfred de Vigny
dimanche 12 janvier 2014
La région de Saint-Gilles est peuplée depuis bien longtemps, comme toute la
région du Gard. Les traces mégalithiques y sont nombreuses. À l’origine de la
ville, le site fut probablement un comptoir phénicien. Elle devint cité
portuaire grecque, colonie de Marseille, au Vème siècle avant notre ère. C'est
aussi l'aboutissement de l'ancienne Regordane, route traversant le Massif
central et les Cévennes.
Dictons
S'il fait beau à la Saint-Gilles, Cela durera jusqu'à la Saint-Michel.
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Ermite en Septimanie (✝ 720)
D'origine grecque, Gilles (Aegidius) vécut en ermite dans les forêts près
de Nîmes dans le Gard où il fonda une abbaye qui prit son nom: Saint
Gilles du Gard. Sa popularité lui vint de ce que le monastère, construit dès le VIe siècle,
se trouvait sur l'un des itinéraires de Rome à Compostelle.
Les pèlerins s'y arrêtaient et chantaient les louanges de saint Gilles à leur retour dans leur pays.
Les pèlerins s'y arrêtaient et chantaient les louanges de saint Gilles à leur retour dans leur pays.
"Reconnaissable à sa coule bénédictine et à sa biche, on l'invoque
contre la panique, le mal caduc, la folie ou les frayeurs nocturnes"
Saint Gilles, dont le culte est florissant depuis le Moyen Age, à cause de
l'abbaye gardienne de ses reliques, est un ermite dont l'histoire s'est souvent
effacée au profit de la légende.
Son tombeau fut un lieu de pèlerinage
extrêmement fréquenté au Moyen Age, sur les chemins de Saint Jacques de
Compostelle.
Un grand nombre de lieux de culte lui sont dédiés tant en France
qu'à l'étranger.
(source: Les Saints du diocèse de Nîmes)
L'abbatiale Saint-Gilles est l'église abbatiale de l'ancien monastère
bénédictin situé à Saint-Gilles, dans le département du Gard. Il s'agissait de
l'un des deux grands prieurés, avec celui de Toulouse, de la langue de
Provence, l'une des divisions de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
L'ange
l'oeil de boeuf
les apôtres
le baiser de Judas
l'archange St Michel
le lavement des pieds
lions soutenant une colonne
centaure poursuivant une biche
vendredi 10 janvier 2014
mercredi 8 janvier 2014
lundi 6 janvier 2014
ce n'est pas le temps qui passe c'est nous qui passons (proverbe africain)
Pour représenter le temps les Indiens se servaient du cercle, symbole de l'éternel retour de la réalité essentielle et représentation de l'infini.
Comme disent leurs sages, "le temps n'était pas fait prisonnier et divisé en parties toujours plus petites pour imposer à la plupart des hommes des rythmes de travail et des lois d'exploitation."
"...leur temps était essentiellement vital et instantané. Entre un moment et l'autre, vécus chacun avec le maximum d'intensité pratiquement comme s'ils représentaient la fin et le but de la vie entière, il n'y avait pas ces liens arbitraires qui sont significatifs du temps des horloges. La vie "instant après instant" de l'Indien était un temps "pur", donc un temps qui n'était pas ressenti comme une succession "point par point".
L'Indien réfutait la cohérence solidifiée, organisatrice et exploitable du temps qu'il voulait maintenir discontinu afin qu'il restât au diapason de l'intensité...." (Elmire Zolla)
Le peuple des hommes (Domenico Buffarini)
Comme disent leurs sages, "le temps n'était pas fait prisonnier et divisé en parties toujours plus petites pour imposer à la plupart des hommes des rythmes de travail et des lois d'exploitation."
"...leur temps était essentiellement vital et instantané. Entre un moment et l'autre, vécus chacun avec le maximum d'intensité pratiquement comme s'ils représentaient la fin et le but de la vie entière, il n'y avait pas ces liens arbitraires qui sont significatifs du temps des horloges. La vie "instant après instant" de l'Indien était un temps "pur", donc un temps qui n'était pas ressenti comme une succession "point par point".
L'Indien réfutait la cohérence solidifiée, organisatrice et exploitable du temps qu'il voulait maintenir discontinu afin qu'il restât au diapason de l'intensité...." (Elmire Zolla)
Le peuple des hommes (Domenico Buffarini)
dimanche 5 janvier 2014
samedi 4 janvier 2014
jeudi 2 janvier 2014
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