Le bruissement des
feuilles dans les arbres de la forêt
L’apparition des
étoiles lorsque le ciel s’assombrit
Tous ces bruits, ces
tons, sur notre terre, existaient
Avant que l’homme blanc
ne l’ait envahie
Notre mère terre est
désormais couverte de ciment
Les rues et les
trottoirs lui ont volée sa beauté
Maintenant, l’aigle se
cache, il ne vole plus comme avant
Les lignes électriques
ont remplacé son ciel adoré
Les bisons ont disparus
des plaines pour toujours
Les champs se sont
colorés de rouge avec l’arrivée des soldats
Est-ce que cela
apportera un monde meilleur un jour…
Traduction
de l’Oeuvre de Twanica Elisabeth Adcock
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