Bonjour à toutes et à tous

A travers mes photos j'aimerai partager avec vous la fascination, l'amour et la passion que Le Languedoc m'inspire

C'est en cultivant notre capacité d' émerveillement que l'on préservera la Beauté de ce Monde.

Claire

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------





Et n'oubliez pas :

cliquez sur les photos pour les agrandir
et pour les diaporamas n'oubliez pas le son


samedi 24 juin 2017

un vers luisant dans le jardin...


une lueur dans la nuit

Ce sont les femelles du lampyre que l'on trouve très facilement, les nuits d'été, grâce à leur postérieur lumineux. Elles mesurent environ 1,5 à 3 cm. Leur corps est ovale, segmenté, mou et aplati, dans les tons bruns. C'est à cet aspect larvaire que l'on doit l'appellation de « ver » luisant.
Les femelles du lampyre (ver luisant) gardent donc adultes une forme de larve : on peut parler de néoténie (ou de pédogenèse) puisqu'elles se reproduisent alors qu'elles conservent des caractéristiques juvéniles. Les femelles adultes diffèrent des larves par l'absence de taches jaune-orangé, latérales, sur la face dorsale des segments.
Les larves sont prédatrices. Elles se nourrissent avant tout d'escargots et de limaces (et peut-être aussi de petits vers, d’autres larves ou d’insectes), qu'elles paralysent en leur injectant un venin. Puis elles liquéfient leurs proies au moyen d'enzymes digestives avant de les ingurgiter.

Les adultes ne se nourrissent que très peu voire pas, survivant principalement grâce aux réserves établies à l'état larvaire, et se laissent mourir après la reproduction (sémelparité).

Les vers luisants semblent peu appréciés des prédateurs. Leurs ennemis sont, outre la pollution lumineuse, les insecticides et hélicides, et le gyrobroyage.

avec éclairage artificiel


mercredi 21 juin 2017

St Eloi de La Galère...et son simbeu









criquet


la nature du samsara


Quand vous reconnaîtrez la nature du samsara, vous serez envahis par une grande lassitude [....]. Vous verrez clairement à quel point les voies du monde ordinaire sont erronées et trompeuses, et vous vous en lasserez comme le vieillard se lasse des jeux d'enfant auquel on l'a forcé à prendre part. Quand vous comprendrez que passer vos jours à vous attacher à vos amis et à comploter pour défaire vos ennemis ou vos rivaux n'est que folie, ces activités ne vous fascineront plus. Quand vous serez frappés par l'inutilité de vous laisser sans cesse entraîner et conditionner par vos tendances habituelles, l'écœurement vous gagnera [....]. Il vous incitera à rechercher la libération, et si vous faites effort en ce sens, vous y parviendrez. [...]


Dilgo Khyentse Rinpoche, Au Cœur de la compassion

jeudi 15 juin 2017

le Grand mystère


Nous entendons Ta voix partout : sans entraves, elle va de par ce monde ! Même lorsque nous dormons, l'esprit se glisse jusqu'à nous sous la forme de rêves. Et tandis que nous suivons l'esprit là où il nous mène, c'est Toi que nous sommes destinés à rencontrer.

L'esprit des indiens - Anna Lee Walters

mercredi 14 juin 2017


'Aussi longtemps que je vivrai je veux entendre les oiseaux et les vents et les chutes d'eau chanter. J'interpréterai les roches et apprendrai la langue des inondation et des tempêtes et des avalanches. Je ferai la connaissance des jardins sauvages et des glaciers et me garderai près du cœur de ce monde comme je pourrais....
 Et  je l'ai fait. Je me suis baladé de la roche à la roche, du bosquet au bosquet, du ruisseau au ruisseau et chaque fois que j'ai rencontré une nouvelle plante,  je m'asseyais à côté d'elle pendant une minute ou un jour, pour faire sa connaissance, entendre ce qu'elle avait à raconter. J'ai demandé aux rochers où ils avaient été et où ils allaient et quand la nuit m'a trouvé, là,  j'ai campé. Je n'ai pas pris plus d'attention pour gagner du temps ou me dépêcher que les arbres ou les étoiles. C'est la vraie liberté, , une bonne et pratique sorte d'immortalité.'

John Muir

Palavas



mardi 13 juin 2017

Eric Jourdan




crépuscule

'Et vous souvenez-vous  quels secrets les arbres nous ont dits lorsque nous nous couchions sous leurs branches ombragées les jours chauds de solstice d'été, pendant que les feuilles  dansaient  et vacillaient contre le ciel bleu, si  bleu ? 
Pouvez-vous dire quel  était le charme qui nous tenait comme un rêve dans la tombée de la nuit, comme nous regardions  leurs lourdes masses devenir sombres contre le crépuscule argenté ?'

C.E. Smith


lundi 12 juin 2017

Sabri Allouiani

avec Angora/Aubanel


avec Indian/Laurent

avec  Valento/Lagarde


Ziko


Vincent Marignan


la Tour d'Anglas

C’est en Mars 1280 que fut décidée la construction de la tour d’Anglas. Anglas, nom d’un ancien village, aujourd’hui détruit, qui s’élevait entre les mas actuels Soulet et Anglas. Ce bâtiment, un des plus anciens du Cailar, est une tour à péage habitée autrefois par un receveur. Celle-ci prélevait

un droit de passage auprès des bateliers qui remontaient et descendaient le Vistre, canalisé, navigable jusqu’au Cailar. En effet pendant longtemps le Cailar n’a pas fait seulement office de marché à poissons mais aussi de port fluvial assez actif où l’on transportait des marchandises venues d’Aigues-Mortes par le bras du vieux Rhône (barques chargées de sel, vin, foin, céréales…). Vers le XVIIIème siècle ce commerce fluvial a valu aux habitants le désagrément d’être tenus pour des marins, et appelés à ce titre à servir dans la flotte royale ou nationale.